Une certaine histoire du libéralisme
Alexander Zevin explore l’histoire, parfois contradictoire, du libéralisme «réel» et celle de l’élaboration de sa propre conception du monde, développée dans un journal vieux de 175 ans.
Alexander Zevin explore l’histoire, parfois contradictoire, du libéralisme «réel» et celle de l’élaboration de sa propre conception du monde, développée dans un journal vieux de 175 ans.
Derrière la propagation du virus à l’échelle mondiale se cache un système économique qui était déjà malade. Le virus n’est qu’un révélateur et non la cause de nos maux.
Les entreprises ont adopté une rhétorique antiraciste, mais sans remettre en cause l’inégalité économique qu’il génèrent – et qu’ils veulent maintenir par la force si nécessaire. Ce dont nous avons besoin c’est d’un mouvement social.
Amateurs comme détracteurs du modernisme semblent s’accorder pour dire que les rêves de cette école ne sont jamais devenus réalité. Or, il s’agit là d’un récit à tout le moins incomplet.
Le 4 septembre 1970, Salvador Allende, le candidat de l’Unité populaire, gagne les élections présidentielles. Au-delà de son interruption violente, ce projet pourrait servir de référence aux futures tentatives de construction de sociétés solidaires.
Le concept de « racisme institutionnel » a le mérite de réorienter le regard antiraciste vers des phénomènes plus difficiles à percevoir. Pour transformer ces institutions, il faut également inclure ces perspectives dans un cadre de classe.
La pandémie n’est ni un coup fatal ni un événement politiquement neutre. Mais si nous nous battons pour cela, elle pourrait devenir un portail vers un monde meilleur.
Les seules voies de sortie de la crise économique mondiale déclenchée par l ’épidémie sont de type socialiste. Mais les oligarchies vont tout faire pour qu ’elles soient « nationales-socialistes ».
La pandémie a déplacé les plaques tectoniques du capitalisme mondial. C’est un formidable défi pour ceux d’entre nous qui voulons construire le monde de l’après-capitalisme.
La crise sanitaire provoquée par le coronavirus a rouvert des débats que le capital considérait déjà comme gagnés. Les travailleurs pourront-ils en profiter pour transformer le système à leur avantage ?
Donnée pour morte à maintes reprises, la classe ouvrière démontre avec la pandémie son rôle central dans la production et trace des possibilités pour s’émanciper du capitalisme.
La pandémie de coronavirus nous précipite dans une grave crise économique et sociale, et montre encore une fois qu’il nous faut tirer un trait sur le capitalisme, et l’ingouvernabilité qui lui est inhérente.
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