Les chaînes des traités européens
Avec ses traités et ses diktats, le cadre de l’Union européenne est inconciliable avec une participation de la gauche authentique au pouvoir
Avec ses traités et ses diktats, le cadre de l’Union européenne est inconciliable avec une participation de la gauche authentique au pouvoir
Depuis vingt-cinq ans, en Europe, des partis de gauche se sont joints à de larges coalitions gouvernementales et en sont sortis, sans rien de positif
Le danger « populiste » est sur toutes les lèvres. Pourtant, tant comme outil d’analyse que comme stratégie politique, il semble vouer la gauche à un cul-de-sac.
L’idée selon laquelle le libéralisme économique serait de gauche est à la mode. Sauf à mettre n’importe quoi sous l’étiquette de « gauche », cette idée est un contresens qu’il est urgent de déconstruire.
Pour le philosophe Domenico Losurdo, l’histoire de la notion de « non-violence » et son association à la figure de Gandhi ou du Dalaï-Lama est plus contradictoire qu’il n’y paraît.
Le refus de Jean-Luc Mélenchon, de donner une consigne de vote au soir du premier tour de l’élection présidentielle a provoqué une avalanche d’idignations. Pour certains, cette porte ouverte à l’abstention relèverait d’un « privilège de blanc ».
À l’encontre des idées reçues sur l’électorat « populaire » du FN, moins de 15 % des ouvriers votent pour Marine Le Pen. Loin d’être un bloc cohérent, l’électorat frontiste est un conglomérat plus fragile qu’il n’y paraît.
Le « populisme » est désormais omniprésent. Il semble être partout et annonciateur de catastrophes. Pourtant, l’étude des origines historiques du concept dresse un portrait aux contours plus ambigus.
Le succès de la Women’s March on Washington, suite à l’élection de Donald Trump, ne doit pas nous faire oublier de tirer les leçons de la défaite.
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