L’Amérique latine à la croisée d’un monde multipolaire
Des forces progressistes sont aujourd’hui à la tête de plusieurs pays de l’Amérique Latine, dont les plus puissants… Mais ont-ils conquis le pouvoir pour autant ?
Des forces progressistes sont aujourd’hui à la tête de plusieurs pays de l’Amérique Latine, dont les plus puissants… Mais ont-ils conquis le pouvoir pour autant ?
Aujourd’hui, peut-être même plus qu’en 1848, le monde est à l’aube de grands changements. L’ère de la mondialisation capitaliste dominée par les États-Unis touche à sa fin et le monde se divise brusquement en de nouveaux pôles.
En période d’inflation, la lutte des classes est menée non seulement sur le front des salaires, mais aussi sur celui des prix. Par le biais de plafonds de prix, de taxes sur les surprofits et de la prise en charge de secteurs essentiels par le secteur public.
De plus en plus de citoyens soutiennent la nationalisation du secteur. De leur côté, les partis traditionnels et la multinationale Engie y voient l’occasion de socialiser les coûts des déchets nucléaires.
Le système est, après avoir tourné autour de l’opposition travail-capital, depuis quelques dizaines d’années sous le joug de la finance. Le règne de celle-ci s’affaiblissant, la course à sa succession est enclenchée.
Avec les Fratelli d’Italia, l’Italie a obtenu un héritier direct du fascisme au pouvoir. L’UE et le patronat n’ont aucun problème avec cela, mais les travailleurs en paient le prix.
Les malades de longue durée ne sont pas des personnes « inactives ». Ce sont des travailleurs affaiblis par le système. Il ne faut pas chasser les malades mais plutôt supprimer les mauvaises conditions de travail.
La grande bourgeoisie des États-Unis a fait cause commune contre la Chine. Les faucons libéraux et les néoconservateurs ont fusionné sur le plan stratégique et portent la politique de guerre des États-Unis à un niveau sans précédent face à leur rival stratégique.
Depuis plus de 60 ans, Cuba est étranglée par un blocus imposé par les États-Unis. Presque tous les pays condamnent le blocus illégal, tout en lui obéissant. Chronique d’un socialisme assiégé.
Le 8 mars 1917 est devenu, selon les mots d’Alexandra Kollontaï, « une date mémorable dans l’histoire. Les femmes russes ont brandi la torche de la révolution prolétarienne et ont mis le feu aux poudres. La révolution venait de commencer. » Lava a rédigé cette archive de 1920.
La mobilisation contre la réforme des retraites de Macron est massive et historique. Une opposition frontale qui risque de durer et qui sera déterminante pour bloquer l’agenda néolibéral du président français.
Depuis plusieurs années, les « zones faibles émissions » (ZFE) comptent parmi l’arsenal des partis traditionnels pour chasser les véhicules polluants des villes… Une exclusion qui touche également les familles les plus modestes.
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