Pour ou contre la voiture : un faux débat
Si les résultats environnementaux des politiques de mobilité durable qui ciblent prioritairement l’automobiliste sont contestables, les impacts sociaux sont au contraire fortement minimisés.
Si les résultats environnementaux des politiques de mobilité durable qui ciblent prioritairement l’automobiliste sont contestables, les impacts sociaux sont au contraire fortement minimisés.
De plus en plus de citoyens soutiennent la nationalisation du secteur. De leur côté, les partis traditionnels et la multinationale Engie y voient l’occasion de socialiser les coûts des déchets nucléaires.
La relation incestueuse entre l’industrie gazière et les décideurs politiques nous a mené à la catastrophe actuelle avec des factures annuelles qui pourraient atteindre 7000 € d’ici l’hiver prochain.
Alors que les politiques actuelles se basent sur des mesures individuelles, injustes socialement et dont l’efficacité environnementale est faible, une approche collective est possible, basée sur les besoins et non le profit.
L’industrie de l’aviation est en grande détresse à cause de la crise du covid. Mais revenir aux vieilles recettes – combler les puits privés avec de l’argent public – ne fait que reporter le problème.
La transformation des centres urbains en piétonniers n’échappe pas à la logique de city marketing visant des «consommateurs» plutôt que des habitants.
Le concept de conscience de classe a presque disparu de la sociologie du travail. Cependant, de nouvelles recherches mettent en évidence la persistance d’une forte identité de classe. Ce n’est pas Pierre Bourdieu, mais Karl Marx qui semble bien vivant.
Depuis des décennies, les politiques de la ville se soumettent aux intérêts des investisseurs privés au détriment des habitants et de leurs besoins. Mais des solutions existent pour une ville démocratique et accessible à tous.
Ce ne sont pas les transferts entre Régions qui sont importants dans les finances belges, mais la discipline d’austérité bien ancrée de la répartition du budget. Ou comment le “I want my money back” de Thatcher résonne dans les débats budgétaires en Belgique.
La hausse du prix des factures ne serait qu’une fatalité due à la reprise post-pandémie et au contexte géopolitique incertain du à la guerre. Pourtant, c’est bien la libéralisation du secteur qui constitue la cause fondamentale de l’incertitude concernant l’évolution des prix.
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