La tarification de la mobilité comme projet néolibéral
La tarification routière privatise l’utilisation de l’espace public. Toute la politique de mobilité est réduite à une seule question: «Combien suis-je prêt à payer pour me déplacer?»
La tarification routière privatise l’utilisation de l’espace public. Toute la politique de mobilité est réduite à une seule question: «Combien suis-je prêt à payer pour me déplacer?»
L’électrification en masse du transport routier est un non-sens social et environnemental. Pour satisfaire durablement les besoins de mobilité de l’Europe, il existe une alternative solidaire et moins destructrice.
Les trains de nuit ont pratiquement disparu sous l’effet de la libéralisation. Pourtant, ils sont la seule alternative au désastre écologique et social que représente le transport aérien à bas prix.
Les télétravailleurs et les travailleurs mobiles se partagent au moins une caractéristique en commun : faire l’objet d’une cybersurveillance. Mais qui sème le vent récolte la tempête.
Le conspirationnisme offre une explication rapide et facile au fait que, dans notre société, les intérêts des élites prennent systématiquement le dessus. Pour une réponse différente à cette question légitime, il nous faut un autre prisme idéologique.
La Commune de Paris de 1871 fut la première tentative de république ouvrière. Un 99 % avant l’heure. À l’occasion de l’anniversaire Lava republie la préface de Friedrich Engels au livre de Marx La Guerre civile en France, précédée d’une introduction par Patrick Moens.
De Vienne au Chili, de Madrid à Bruxelles, le succès des logements publics destinés aux classes ouvrières et moyennes montre comment de belles demeures peuvent coexister avec des logements urbains pour tous.
Toute l’économie mondiale est aujourd’hui en crise. Toute, à l’exception de la Chine. Face à la croissance rapide de l’Empire du milieu, les États-Unis se dirigent vers une nouvelle guerre froide.
Le Jeu de la dame sur Netflix dépeint un monde de Guerre froide loin des habituels clichés hollywoodiens. Les méchants dans cette œuvre ne sont pas les rivaux soviétiques de notre héroïne, mais bien les tyrans de la classe moyenne des banlieues américaines.
Pour Jan, le savoir académique n’a jamais été purement académique : il a utilisé celui-ci pour soutenir la lutte émancipatrice. Son engagement a inspiré des milliers de militants. In memoriam.
Philosophiquement, la question d’une industrie écologique ou d’une écologie industrielle suppose de repenser complètement les rapports entre la technique et la vie et de mettre à mal une idée très courante, séparant pour les opposer nature et technique.
Avec la défaite de Trump, certains ont proclamé la mort du populisme de droite. Mais les facteurs structurels qui l’ont engendré sont toujours présents, et seul un mouvement de gauche requinqué peut y remédier.
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