« Sans frontières, pas de migration, seulement de la mobilité »
Rendre l’impensable pensable, contre toute objection pratique. Dans un premier ouvrage passionnant, Grenskolonialisme (Colonialisme des frontières), Albina Fetahaj défend une idée audacieuse: un monde sans frontières. «Plus les capitaux ont circulé librement à travers le monde, moins les gens ont été libres.»